Success Story : Comment un entrepreneur africain a développé son activité grâce à PayQin

Karim ajuste une dernière fois ses lunettes avant de prendre la parole sur la scène d’une conférence entrepreneuriale à Dakar. « Il y a trois ans, je vendais des t-shirts dans mon petit magasin local. Aujourd’hui, j’exporte mes créations dans 5 pays et mon site en ligne tourne à plein régime », raconte-t-il fièrement au micro. La salle applaudit, enthousiaste. Si Karim a pu passer de micro-entrepreneur local à success story internationale, c’est grâce à son talent, bien sûr – mais aussi grâce à un allié inattendu : la fintech africaine, et en particulier PayQin. Voici son histoire.

Les défis initiaux : “J’avais des clients, mais pas les moyens de me faire payer”

En 2022, Karim lance “Karim Style”, une marque de t-shirts et accessoires personnalisés à Dakar. Le bouche-à-oreille fonctionne, des touristes français de passage adorent ses produits et veulent commander une fois rentrés en Europe. Karim flaire l’opportunité de l’e-commerce international. Il crée une page Instagram, puis un petit site vitrine. Mais très vite, il se heurte à un obstacle de taille : comment accepter les paiements de ses clients à l’étranger ? Ouvrir un compte en devises dans une banque sénégalaise s’avère complexe et coûteux pour un jeune entrepreneur. Les plateformes de paiement en ligne classiques (Stripe, PayPal) ne sont pas disponibles ou faciles à encaisser localement. Résultat : des ventes manquées, de la frustration, et le risque de voir ses nouveaux clients se décourager.

En parallèle, Karim a besoin de matières premières (tissu, encres) qu’il ne trouve pas sur place. Il repère un fournisseur bon marché en Turquie, prêt à lui envoyer de la marchandise. Mais là encore, comment le payer depuis le Sénégal ? Sa carte bancaire locale est plafonnée et souvent refusée en devises. “Je me sentais bloqué par le système financier, alors même que la demande pour mes produits était réelle”, explique-t-il. Comme 60% des petites entreprises en Afrique francophone, Karim est sous-bancarisé et tributaire d’un système inadapté aux besoins d’un entrepreneur moderne.

La découverte de PayQin : “No bank? No problem.”

C’est en discutant avec un ami développeur que Karim entend parler de PayQin, une application fintech qui promet de “simplifier les paiements en ligne en Afrique”. Il apprend qu’avec PayQin, il peut détenir un portefeuille virtuel en dollars US (USDC), alimenté en monnaie locale via mobile money, et effectuer des transactions internationales facilement. Intrigué, il télécharge l’app. L’inscription est rapide : une adresse email, une pièce d’identité, et son wallet USD est créé en quelques minutes sur son smartphone. Pas besoin de compte bancaire, pas de paperasse lourde – une simplicité qui le rassure.

Karim commence par tester une carte Visa virtuelle générée depuis son wallet PayQin. Miracle : il réussit à payer son fournisseur turc de t-shirts, qui accepte la carte internationale sans problème. Les rouleaux de tissus sont expédiés. Fort de cette première victoire, il va plus loin : sur son site web, il affiche désormais qu’il accepte les paiements via wallet PayQin. Concrètement, ses clients européens peuvent envoyer des dollars numériques (USDC) sur le compte PayQin de Karim (via un simple email ou QR code). “J’avais un peu peur au début – allais-je vraiment recevoir l’argent ?” confie-t-il. Mais la technologie a tenu ses promesses : une cliente de Paris lui a envoyé l’équivalent de 100 € en USDC pour une commande, et quelques minutes plus tard Karim voyait ce montant crédité sur son téléphone. Fini les transferts compliqués : plus besoin qu’on lui envoie de l’argent par Western Union ou autre, avec des frais élevés et des délais. Tout se fait en direct, de wallet à wallet.

La croissance : “Mon marché est devenu le monde entier”

Payqin

En l’espace de quelques mois, les bénéfices de cette transformation digitale se font sentir. Karim Style enregistre une hausse de 50% de son chiffre d’affaires. Les touristes et expatriés qui achètent en ligne représentent une part croissante de ses ventes. Grâce à PayQin, Karim encaisse sans friction : il convertit ses USDC reçus en franc CFA via l’appli, et peut les retirer en liquide auprès d’un agent MoneyGram à Dakar si besoin. Les frais ? Minimes, surtout comparés aux 8-10% qu’il aurait perdus via un transfert international classique.

Côté marketing, Karim profite aussi du virage digital : avec la carte virtuelle PayQin, il a enfin pu sponsoriser des posts Facebook pour toucher des clients au-delà du Sénégal (il raconte avoir investi 30 $ dans sa première pub Instagram ciblant la France et la Côte d’Ivoire, qui lui a rapporté une dizaine de commandes). Pour lui qui n’avait jamais pu utiliser Facebook Ads faute de moyen de paiement, c’est une petite révolution. “J’ai senti que mon business entrait dans une nouvelle dimension. Je ne suis plus limité géographiquement.

Karim commence également à explorer l’épargne en USDC. Plutôt que de convertir immédiatement tous ses gains en francs CFA, il en laisse une partie sur son wallet en dollar stable. Cela le protège de la fluctuation de la monnaie locale et lui permet d’envisager des achats à l’étranger plus facilement plus tard. Il a lu que les stablecoins comme l’USDC permettent à des milliers d’Africains de sécuriser leur épargne contre l’inflation ou la dévaluation. “C’est un peu mon compte en banque en dollars, sauf que je l’ai créé tout seul, depuis mon téléphone”, dit-il en souriant.

Leçons et perspectives : “Innover, c’est d’abord adopter les bons outils”

L’histoire de Karim illustre la formidable opportunité qu’offrent les fintechs africaines aux entrepreneurs. En quelques clics, un obstacle apparemment insurmontable – recevoir de l’argent de l’étranger, payer en devises – a été levé. Cela lui a permis de passer à l’échelle supérieure et de rivaliser avec des concurrents mieux outillés. Voici les enseignements clés de son parcours :

  • Oser tester de nouvelles solutions : Karim aurait pu abandonner l’idée de vendre à l’international. Au lieu de cela, il a cherché une alternative innovante. PayQin, comme d’autres startups fintech, propose des services pensés pour des profils comme lui (non-bancarisés, mobile-first). La leçon : ne pas hésiter à essayer ces outils modernes, souvent plus agiles que les systèmes traditionnels.
  • Gagner en autonomie financière : En adoptant un wallet, Karim a réduit sa dépendance vis-à-vis des banques et intermédiaires. Il gère ses encaissements et paiements lui-même, à toute heure, depuis son téléphone. C’est un gain de temps, d’argent et de liberté. Beaucoup de jeunes entrepreneurs africains partagent ce besoin d’autonomie – les solutions fintech sont là pour y répondre.
  • Élargir ses horizons : Avec les barrières de paiement qui tombent, le marché de Karim n’est plus seulement sa ville ou son pays, mais bien la diaspora et au-delà. Son cas montre que la mondialisation peut aussi profiter aux petites entreprises locales, dès lors qu’elles ont accès aux outils pour se connecter au monde (paiements, logistique, communication).

Aujourd’hui, Karim Style continue de grandir. Il pensedevenir lui-même ambassadeur PayQin pour promouvoir la solution autour de lui – il connaît tant de collègues entrepreneurs qui font face aux mêmes soucis qu’il avait autrefois. « Je ne dis pas que c’est facile de créer un business, mais avec des partenaires comme PayQin, on gagne de l’oxygène. On peut se concentrer sur nos produits et nos clients, sans se battre contre les banques », conclut-il.

En voyant le parcours de Karim, on comprend mieux comment les fintech peuvent faire la différence pour les entrepreneurs africains. Et vous, quelle étape de votre croissance pourrait être débloquée par une solution de paiement innovante ? 😉

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